Loxam renforce sa stratégie e-commerce grâce au cloud
SQLI intervient dans la roadmap digitale de Loxam destinée à développer son expérience client et asseoir sa réputation sur son marché.
Présente dans 30 pays, Loxam est l’entreprise numéro 1 de la location d’équipements dans le domaine du BTP en Europe. Préconisé comme intégrateur par son partenaire SAP, SQLI a réalisé un projet de migration vers le cloud de la plateforme e-commerce de Loxam.
Loxam accélère sa transformation digitale
« Le projet de cloudification s’inscrit dans une stratégie globale de développement du digital chez Loxam. Nous souhaitons faire monter en puissance notre dispositif e-commerce et améliorer notre expérience client en nous appuyant sur une plateforme stable, robuste et sécurisée. La migration est une excellente opportunité de moderniser notre infrastructure et de pouvoir déployer notre roadmap digitale à partir d’un applicatif performant », explique Alexandre de Fenoyl, Directeur Digital et Marketing chez Loxam.
Un projet tripartite mené entre Loxam, SAP et SQLI
Loxam s’est appuyé sur sa solution historique, SAP, déjà éprouvée et bien intégrée dans son système d’information. Pour passer à la version SAP Commerce Cloud, Loxam a sélectionné SQLI : « SQLI est un acteur qui nous a rassuré sur sa maîtrise technique, fonctionnelle et sa réactivité » commente Alexandre de Fenoyl.
« Nous avons vu deux apports à la réponse de SQLI : une très bonne connaissance de la version cible et la capacité à coordonner tous les intervenants, dont SAP. Nous avons bénéficié d’un interlocuteur unique qui a géré l’ensemble de la relation, répondu des délais et de la qualité. SQLI a été un intermédiaire très efficace entre SAP et Loxam », complète Etienne Victoria, Directeur des Applications et Projets chez Loxam.
Le projet, réalisé entre SQLI France et son centre de services marocain, s’est déroulé en plusieurs étapes :
- Phase d’assessment : l’équipe a évalué le niveau de complexité des développements spécifiques comme les travaux de refactoring à réaliser pour passer de la version source à la version cible, et ainsi estimer l’effort à fournir avant d’entamer la migration ;
- Phase d’upgrade : la montée de version a nécessité de franchir plusieurs paliers pour parvenir à la dernière version en date, 21.5. L’équipe a déroulé plus d’une centaine de cas de tests pour s’assurer de l’absence de régressions sur l’ensemble des fonctionnalités.
- Phase de migration : la plateforme à jour, l’équipe s’est attelée à la migration vers le cloud et aux modifications nécessaires pour que toutes les fonctionnalités soient opérationnelles.
Etienne Victoria et Benoît Wojciechowski, Responsable Pôle Expérience Digitale, saluent le bon déroulement du projet et la qualité du service fourni par SQLI : « Le dialogue a été fluide, l’organisation flexible et menée dans une démarche de coresponsabilité. Cette bonne entente fait presque plus que la méthodologie projet ! Que ce soit du côté de la France et du Maroc, SQLI a une communication unifiée : SQLI parle d’une seule et même voix. Un vrai partenariat. »
Un support fiable pour porter les évolutions e-commerce de Loxam
Loxam dispose dorénavant d’un environnement cloud réactif qui permet à l’entreprise de gagner en fiabilité et performance. Ce passage au cloud offre un support au leader européen pour relancer sa roadmap digitale et bénéficier des fonctionnalités de SAP Commerce Cloud pour poursuivre la digitalisation de ses parcours clients : améliorer l’accès au catalogue, la réservation et le paiement en ligne ou encore l’affichage de la disponibilité des produits.
« Ce projet se solde par un beau succès. SQLI présente tous les atouts d’une bonne conduite de projet, sans la rigidité d’un grand intégrateur. Tout a été respecté et l’expérience s’est déroulée sans couture. Nous tenons également à souligner la qualité du management de projet et sa compréhension du besoin du client. Ce projet de migration était une grande première pour nous et la maîtrise de SQLI était une réassurance, une vraie clef pour construire une relation de confiance », conclut Etienne Victoria.