Welcome Back chez SQLI, Florian !
Florian a fait ses armes chez SQLI durant 3 ans, avant de partir pour évoluer sur une autre technologie. Déçu par l’atmosphère régnant dans les entreprises suivantes, il réintègre l’agence lyonnaise 3 ans après avec bonheur, sur le poste qu’il convoitait. Il partage son expérience et les aspects qui lui permettent de s’épanouir chez SQLI depuis maintenant 7 ans !
Raconte-nous ta première expérience chez SQLI et ce qui a motivé ton départ.
J’ai rejoint SQLI en 2011 en qualité d’Ingénieur en développement. J'étais spécialisé dans la cybersécurité réseau et je travaillais sur les centrales nucléaires d'EDF. Mon rôle consistait à garantir l'absence d'attaques réseau et de sécuriser les flux de données contenant les actions à suivre par les collaborateurs d'EDF pour minimiser l’exposition au nucléaire. Cette mission était similaire à celle d'un agent de sécurité, et lorsque tout se passait bien, nous n'avions pas beaucoup d'activité.
Nous avons donc mis à profit ces moments pour automatiser certaines tâches et créer une représentation graphique de l'état du réseau. Les responsables des centrales ont apprécié l'idée et nous avons développé cette solution pour toutes les centrales. C’est ainsi que je me suis formé progressivement au développement et j’ai adoré ! J’ai décidé d’en faire mon métier.
Par la suite, SQLI m’a confié des missions de TMA en Magento, puis j’ai découvert le framework Symfony qui m’a beaucoup plu ! J'ai souhaité approfondir mes compétences dans cette technologie. Cependant, mon équipe ne travaillait pas sur Symfony et à l’époque, il n'était pas possible de changer de service. J’ai donc décidé d’évoluer ailleurs. Mon départ s’est déroulé dans de très bonnes conditions, avec un pincement au cœur car j’appréciais le Groupe, l’ambiance et l’équipe…
Qu’est-ce qui t’a manqué après ton départ et qui a conforté ton retour ?
Je suis passé par une start-up SSII spécialisée en Symfony, qui a fini par faire faillite, puis par une grande ESN française. Mais je n'ai jamais retrouvé l'ambiance familiale et la dynamique de travail que j'appréciais tant chez SQLI. L’atmosphère y était plus rassurante.
De plus, ces entreprises n’ont pas toujours été honnêtes sur la fiche de poste, et je me suis par exemple retrouvé à voyager alors que j'avais demandé à ne pas être mobile. SQLI, en revanche, a toujours été respectueux de mes préférences.
Comment s’est déroulé ton retour ?
L'idée de revenir chez SQLI s'est concrétisée lors d’un échange avec un ancien collègue où nous avons plaisanté sur un hypothétique retour. Il m'a dit sérieusement qu'il pouvait me recommander. À ce moment-là, trois années s’étaient écoulées depuis mon départ et les changements d’équipes et de technologies étaient désormais facilitées.
SQLI m’a proposé d’occuper le poste d'Expert Technique, ce qui correspondait à mes attentes ! Ma réintégration s’est déroulée dans des conditions idéales, dans de nouveaux locaux et dans l'ambiance qui m'avait manquée, avec cet esprit « familial ». J’avais l’impression de rentrer à la maison après un long voyage. J'ai même convaincu quatre de mes collègues chez GFI de me rejoindre chez SQLI !
Tu es depuis 7 ans un fidèle Sqlien ! Qu’est ce qui te conforte à rester chez SQLI ?
Depuis mon retour, je me sens bien chez SQLI. On me fait confiance, j'ai pu construire mon poste selon mes aspirations et les conditions de travail sont excellentes. De plus, en tant que jeune parent, je trouve que SQLI offre un bon équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle.
Pourtant, « l’appel des sirènes » est presque quotidien… quel conseil donnerais-tu à nos collaborateurs qui sont constamment sollicités ?
En particulier lorsque l’on est jeune, il est très facile de se laisser tenter par une autre offre alléchante. Je conseillerais de faire attention aux belles paroles et de bien évaluer ce que l'on gagne et ce que l'on perd. J’occupe le rôle de TLRH chez SQLI et lorsqu’un cas de démission se présente, je partage ma propre expérience. Il est important de garder à l'esprit que l'herbe n'est pas toujours plus verte ailleurs.